Allons d’abord dans deux exemples concrets :
Analysons :
Un beau jour sa mère apprend que le médicament n’est pas très bon à long terme pour l’estomac, et qu’il existe des plantes très efficaces naturellement. Bien, la voilà face à un choix : passer des heures dans la nature à chercher des plantes, acheter ces plantes chères et non-remboursée par la sécu, ou continuer son schéma ? Libre à chacun, ne jugeons pas.
Aujourd’hui nous sommes tous conscients des prix, des ingrédients, de l’éthique, de la santé, etc. Alors comment faire son choix ? Selon quel critère ?
Le prix, le goût, le côté pratique, le temps de gagné, les disputes évitées, des fast-food il y en a partout, etc.
Les parents gagnent 2000€ à deux, en bossant tous les jours, et sont fatigués le soir, n’ayant que le week-end pour soi-disant se reposer. Quel choix ont-ils ? Libre à chacun.
En conclusion qu’est-ce qu’un réel choix ? La connaissance. La conscience. Connaitre les antécédents, les conséquences, les paramètres, les enjeux. Ça c’est un choix.
Nous avons parlé de prix, du temps, l’espace, du pratique, et du discernement.
Parlons d’un virus, supposons capable de rendre malade, et de tuer, et qui en plus, qui peut tuer des personnes qu’on aime et qu’on a eu le malheur de baiser (mauvais esprits, calmez-vous !), mais pas tous ceux qu’on a croisé en transport en commun pour y aller.
Retirer nos paramètres nécessaires à faire un vrai choix :
(- le bénéfice / risque ? C’est à chacun de le calculer)
Maintenant, vous pouvez faire un vrai choix : la solution miraculeuse ou le discernement.
Et si vous choisissez le vaxin ? Avez-vous le choix ? Lequel choisir ? Le temps de lire chaque brevet, chaque étude, d’écouter des médias divers ? N’oubliez pas, un choix éclairé est un choix qui est fait avec intelligence, conscience et en connaissance de chaque paramètre.
Imaginez-vous, avoir choisi, vous rendre chez votre médecin et lui dire « en toute connaissance de cause, j’ai choisi le vaxin russe, ou au pire l’indien ». Impossible.
Sur ce, faites les bons choix, en sachant si vous avez vraiment eu le choix.
C’est comme tout dans la vie, si nous devions tous partir à Rome, on penserait immédiatement avoir le choix, entre avion, TGV, train ou voiture. Certains courageux se diraient j’y vais à pied ou à vélo. Mais très peu se diraient « depuis quand aller à Rome m’est obligatoire ? » Depuis que j’ai formulé que nous DEVIONS y aller, c’est facile de manipuler. Le vrai choix implique de pouvoir refuser ! Et dans tous les cas, ceux qui iraient à Rome et ceux qui n’iraient pas, n’auraient aucune raison de se mépriser les uns les autres.
Gwen Clappe